Traducteur littéraire à Marseille, âgé de 35 ans, Giacomo revient en Sardaigne car sa grand-mère est mourante. Avec appréhension car les retours sur la terre natale sont toujours douloureux.
Pourtant, cette fois-ci, le séjour se prolonge et les souvenirs affluent autour du jeune homme. Que ce soit avec Fabrizio, l'ami d'enfance atteint d'un vieillissement prématuré, avec le Capitaine, héros de guerre solitaire, avec ses parents, la mère envahissante, le père taiseux, les moments de l'enfance surgissent tour à tour : la Sardaigne enveloppe Giacomo et le retient sur son île.
Entre délicatesse et mélancolie, nostalgie et espoir, Giacomo trace un chemin et nous invite à le suivre, à rencontrer ses amis, à découvrir son pays. Parfois tristes, parfois drôles, les pages du livre dévoilent la sincérité du narrateur et son amour immodéré pour la Sardaigne. Chronique d'une vie, chronique d'une île, roman sur les racines, La maison à droite de celle de ma grand-mère est une ode aux bonheurs simples de la vie, à la générosité et à la tendresse.